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Le site de Dominique Cacoub

  

Extraits de lettres



Cette jeune fille qui a si bien su dissimuler son angoisse apporte à tous un témoignage de courage et de fermeté d'âme qui lui a permis de conserver jusqu'au bout la joie de vivre et de ne jamais donner aux siens, à tous ceux qu'elle aime avec un véritable débordement de tendresse, le spectacle de la désolation sans remède. A ce titre ce livre est en soi un document exceptionnel et mérite de figurer dans la liste des ouvrages qui resteront et continueront tel le journal de Marie BASCHKIRSTEFF ou celui d'Anne FRANK, de donner aux générations à venir l'image merveilleuse de ce qu'étaient les jeunes filles de notre temps.

Professeur Raymond MANDE


 J'ai lu le livre de Dominique d'un trait. Bouleversée, en larmes et en admiration aussi. Pour elle et pour vous. Et pour ce cantique courageux à la vie.

Frédérique HEBRARD


 Je tiens à vous remercier de n'avoir pas gardé pour vous ce merveilleux livre d'amour qui unit vos deux journaux, celui de votre fille et le vôtre. J'ai l'âge de Dominique lorsqu'elle est morte.

Françoise EYRIES . SALON DE PROVENCE


 En ce jour anniversaire du départ de Dominique, je viens vous exprimer ma certitude que votre petite fille ardente et généreuse, à la fois enfantine, pure, claire, directe, spontanée et si mûre, clairvoyante, lucide, courageuse, que l'adolescente si prête à jouir avec enthousiasme de toutes les joies, de toutes les beautés de la vie, ne pourra pas être oubliée. Sa personnalité attachante attire et retient comme lorsqu'elle était parmi nous.

La directrice du Lycée de LAON


 Au début, j'ai eu l'impression de faire progressivement sa connaissance, je la découvrais comme une jeune fille de mon âge, n'importe laquelle, comme moi, avec les mêmes problèmes, les mêmes joies, la même insouciance. Puis au fur et à mesure de sa maladie, je l'ai admirée. C'est très beau. Ce livre respire l'amour. En le fermant, j'ai eu l'impression d'avoir perdu une amie très chère.

Muriel EISENBERG PARIS.


Ce qu'elle a offert d'unique: cette transformation morale et spirituelle qui, des jouissances faciles de la vie quotidienne, l'ont menée à la découvertes des valeurs profondes, de la première de toutes, l'amour du prochain, un amour qu'elle n'a pu manifester que dans ses explosions désespérés de tendresse à l'égard de sa famille, de sa mère surtout. Tant de nobles souffrances ne seront pas oubliées et leur valeur exemplaire ne peuvent pas ne pas être entendues d'une jeunesse généreuse.

Henriette MARTIN. Professeur de Lettres. PARIS


 J'ai apprécié son amour de la vie et comme j'ai admiré son courage devant la mort! Même la souffrance n'a pas détruit sa joie de vivre. J'aurais aimé être son amie.

Martine de B. NANTES


 Je trouve que Dominique a bien lutté contre sa maladie et qu'elle mérite maintenant encore un grand respect de tout le monde. Je prie souvent pour que Dominique soit heureuse là où elle est.

Perrine FRAGER. PARIS


 C'est ce courage, ce refus ou plutôt cette lutte pour la vie et cette joie de vivre qui montrent une personnalité hors du commun. Elle est tellement attachante, intelligente, volontaire, pleine de vie! Parce que c'est le journal d'une adolescente qui s'ouvre à la vie, au monde , à la féminité, je n'ai presque pas éprouvé de sentiment de compassion pour cette fille si dynamique. L'amour et la relation entre vous deux ont aidé Dominique et vous aussi, paradoxalement, vous permettant de survivre à cette douleur infinie qui est la mort de son enfant.

Françoise JORGENS-BONNOT DUSSELDORF


 Comme beaucoup d'autres ont dû le faire, j'ai pleuré... de coeur avec vous, avec cette petite qui aimait tant la vie et qui a tant souffert.

Denise LORAQ BESANCON


 Très émue de la fraîcheur de ce journal si spontanée et joyeux - et courageux- au long de la douloureuse évolution de sa maladie. Et l'alternance avec vos propres pages ou les lettres qu'elle écrit ou reçoit permet de mieux la comprendre et rend sa rencontre encore plus vivante.

Odile ARNOLD PARIS.


 Votre fille n'a pas eu la chance de s'épanouir comme une fille de son âge. On doit admirer sa lucidité et sa maturité, sa grandeur d'âme, sa volonté de surmonter cette lourde peine et de nous communiquer ce qui vivait dans son coeur et dans son esprit. Le récit des dernières années de Dominique Cacoub me rappellent le journal intime de cette autre adolescente bien admirable Anne Frank.

Paul VANCOLEN COURTRAI


 Au fil des pages je me sentais devenir de plus en plus l'amie de Dominique, c'était comme si j'étais sa confidente. J'avais les mêmes goûts que Dominique aussi bien pour le théâtre, la littérature, jusqu'aux petites futilités, comme vouloir plaire à tout prix, ou encore, aimer s'habiller ou encore me sentir aimée et appréciée. . Je n'oublierai jamais Dominique, elle restera à jamais vivante dans mon coeur.

Laury TARTOUN. PARIS


 J'ai lu, j'ai lu avec une profonde émotion et avec une affection croissante les lignes à travers lesquelles s'élevait une voix qui ne s'est pas éteinte, la voix d'un être que l'on ne peut plus oublier parce qu'il a su transcender les limites des éléments mortels et nous offrir l'impression palpitante d'un ami posthume.

Hèdi MABROUK Ambassadeur de Tunisie


Je voulais vous dire depuis longtemps combien j'ai aimé la finesse du journal de votre fille Dominique. Vous dire également à quel point la maturité de votre fille dans cette épreuve est stupéfiante. Le livre de vote fille porte en lui une extraordinaire soif de vie, une espérance. Il m'a soutenue dans des moments difficiles.

Marie GORE ROUEN


 Ayant lu son livre, je me suis promis de venir me recueillir sur sa tombe. J'ai admiré le courage qu'elle a eu jusqu'aux derniers moments de sa vie. Je dépose cette modeste primevère pour Dominique. Je pense très souvent à elle.

Claudette ROMEDENNE GRUGNY


 Les mots arrivent difficilement à exprimer tout ce que l'on ressent devant tant de souffrances. Je suis persuadé que les malheurs que vous avez connus, tout ce qu'a enduré Dominique, peut servir à beaucoup de personnes, et serviront longtemps, à mieux comprendre ce que nous sommes et à mieux supporter un sort contraire.*

André MAMAN NEW YORK


 J'ai 13 ans, je suis en 4ième. J'aime la vie sûrement autant que Dominique l'aimait: j'ai été assez gravement malade et je n'ai sûrement pas autant de volonté devant la maladie que Dominique. A côté d'une leucémie mon ennui de santé n'est absolument rien car j'étais pratiquement pas en danger de mort.

Isabelle MINOT BELLAC


 Elle a été très courageuse et vous a protégés à sa manière en ne parlant pas du nom de sa maladie. A mon avis, elle était tout à fait consciente de son état de santé. Il est difficile de nous cacher, à nous malades, ce qui se passe dans notre corps.

Muriel LE MENER ANGERS


 Sachez-le, Madame, votre fille était formidable, je l'admire autant qu'Anne Frank. Et elle mériterait d'être aussi connue qu'elle. Leurs journal sont une véritable leçon de vie. Face à la souffrance de Dominique je ne pouvais me dire qu'une chose: mes problèmes sont rudement minimes. Tant que le journal de Dominique sera lu, sa mémoire survivra.

Marie VAUTHIER TAVERNY


 La vérité paradoxale serait celle-ci: que devant un document comme celui de votre enfant, l'on ne peut que se taire.

Georges STEINER CAMBRIDGE


 J'ai admiré son courage, aimé son adorable spontanéité. De ce drame on sort révolté avec cette question : Pourquoi? Non, Dominique, on ne t'oublie pas.

Edouard BOCCARA CRETEIL


J'ai profondément aimé l'histoire de votre courageuse fille. Jusqu'au bout j'ai essayé de ne pas pleurer mais j'ai fini votre ouvrage les larmes aux yeux. Je vous remercie énormément d'avoir eu le courage de parler de cette atroce maladie, surtout si tôt après la perte de votre enfant.

Carolyn SEILLIER LA FERTE ALOIS


Que dire devant de telles injustices du destin, quand tant d'indifférents, d'incapables, de bêtes malfaisantes habitent notre monde sans pitié et resplendissent si non d'intelligence, du moins de bonne santé? Pourquoi elle, et pourquoi les enfants, et pourquoi les purs? Mais tout ce qu'a laissé Dominique, si précocement douée, à l'évidence, pour tout ce que la vie a de beau, pour la spéculation intellectuelle, de même que votre discret commentaire, si beau dans sa sobriété, nous incite beaucoup plus à la sérénité, et à la foi en l'homme qu'à des révoltes ou des indignations stériles. La révolte, ce serait plutôt le médecin, pourtant en moi, jamais habitué à "cela" qui l'éprouverait plus encore que l'écrivain.

Christian DEDET PARIS


 Tous les adjectifs de notre langue française peuvent traduire cet ouvrage: émouvant, dramatique, tragique, chaleureux, attachant, révoltant, encourageant..Quel témoignage pour les autres. Les années passent et je pense que Dominique n'est pas oubliée.

A. MALOT PARIS


 Grâce à son journal, Dominique peut aider des jeunes comme mon ami, atteints de leucémie à admettre leur condition et des jeunes, comme moi, peuvent comprendre les souffrances à travers lesquelles des proches peuvent traverser.

Joëlle MERCIER OAKLAND


 Je vous envoie un poème que j'ai écrit la semaine dernière. Souvent je pense à Dominique et à ce qu'elle a vécu Je l'admire énormément

Elle était jeune

Elle était belle

Elle était gaie

Elle voulait vivre et profiter des heures,

Jour après jour, au fil des ans

Elle ressentait toutes les joies de la nature et des choses

Elle a compris en peu de temps, en 17 ans,

Tout ce que d'autres mettent des décennies à acquérir.

Elle a atteint la sagesse à l'heure de sa mort

A 17 ans à peine

A 17 ans déjà

Dieu sait combien c'est triste

Mais Mireille, sa mère

A fait en sorte qu'au fond de nos coeurs

Pleins de bonheurs

Et pour toujours

On n'oublie pas Dominique..

Hélène RAULT


 Bonjour: Je m'appelle Anne-France, j'ai 14 ans. Je viens de lire Je ne veux pas qu'on m'oublie et Je ne t'oublie pas, Dominique. Je crois que ce sont les deux plus merveilleux livres de ma vie.

Anne-France LESAFFRE


 Aussitôt après avoir lu Je ne t'oublie pas, Dominique, j'ai relu Je ne veux pas qu'on m'oublie. Cette lecture entrelacée est singulièrement émouvante. Ces deux livres se répondent. C'est comme une conversation entre vous deux qui se poursuit et qui- tout au long de cette épreuve que vous décrivez si bien- témoigne de l'amour de la mère pour la fille, de la fille pour la mère.

Professeur Jean BERNARD


 J'avais fait connaissance avec Dominique, à travers son journal avec une profonde émotion. C'est avec une grande tendresse que j'ai vécu avec elle et avec vous en lisant votre livre. J'ai compris ainsi quelle force vous donnait sa mémoire pour vous consacrer aux enfants atteints du même mal.

Simone VEIL


 Je vous écris pour vous dire à quel point ce livre m'a plu. J'ai trouvé qu'il exprime la force, l'envie et l'espoir de vivre jusqu'au dernier moment de la maladie de Dominique. Ce livre m'a sûrement beaucoup plus appris en quelques heures que tout ce que l'on essaie de me rentrer dans la tête à l'école.

Cynthia CALOZ. VENTHONE. SUISSE


Je ne savais pas que Dominique était si consciente de sa maladie, j'ignorais sa psychose et cela m'a profondément bouleversée. Ce livre est un hymne au courage mais aussi à l'amour et malgré l'horreur de la maladie, l'horreur de la mort, l'espoir subsiste grâce à votre amour, même au-delà de la mort, il est éternel!

Dany ROUBI. LYON


 Il n'y a pas de mots pour vous dire mon émotion en lisant votre livre sur Dominique. Je vous embrasse et vous remercie du plus profond de mon coeur de cette merveilleuse leçon de courage et d'espoir que vous donnez à tous.

ANABELLA


Ce fut une lecture passionnante, puisque vous aviez en Dominique un sujet qui débordait de vie, d'amour, de soif de vivre, et vous-même étiez un écrivain de premier ordre qui a pu nous transmettre la vie même de Dominique.

Père Pierre CONWAY WASHINGTON D.C.


 Je vous écris pour vous remercier de ce témoignage si beau que j'ai pleuré. Grâce à vous, nous les jeunes, nous ouvrons notre coeur et nous voulons qu'on nous aide à apprendre la vie. Ce que vous avez fait dans ce livre.

Martine ODINOTTE. ANTONY


 Ce livre est terrible. Il es poignant. Il saisit, il étreint. Il fait mal. Vous l'avez écrit avec votre sang car nous savons bien que le sang est esprit.

Elie-Léon BRAMI PARIS


 Votre ouvrage sera utile aux malades, aux familles, aux médecins, aux chercheurs. Merci de l'avoir écrit.

Professeur Georges MATHE


Nous, les mères de ces enfants radieuses que nous avons dû voir mourir, nous portons jusqu'à notre vieillesse leur courage et leur jeunesse en nous.

Madeleine GROSJEAN ANTIBES


C' est à la fois un livre déchirant, insoutenable et ( il n'y a pas contradiction) un livre admirablement écrit: d'une sobriété, d'une retenue de style bref, d'une pudeur sans défaillance, Il vous laisse longtemps au coeur le souvenir terriblement présent de la petite fille souriante, à l'âme si belle dont la photo est sur la couverture.

Jean-Paul LACROIX


 J'ai 15 ans. Je n'ai jamais été hospitalisée et c'est maintenant que je me rends compte, grâce à votre livre, de la chance que j'ai. Je suis donc mal placée pour comprendre la souffrance de votre fille. J'admire son courage et aussi le vôtre. J'ai décidé avec une copine de présenter votre livre à notre classe pour qu'ils comprennent tous ce qu'est la souffrance et la mort.

Marie-Laure FEREBEL GUILERS


 Vivre avec un tel drame présent à chaque jour de votre existence suppose un extraordinaire courage. C'est un problème que vous résolvez de la meilleure manière qui soir, en vous dévouant pour les autres. Mais à côté de l'aspect émotionnel, votre livre révèle un grand talent d'écrivain. Alors que le premier était une sorte de cri à deux voix lancé dans le bouleversement de vos deux existences, il y a dans celui-ci une maturation de la douleur dans ce quotidien que vous exposez dans une forme remarquable.

Lucie AUBRAC


 Durant trois nuits, j'ai vécu avec vous et j'ai découvert Dominique que j'ai tout de suite aimée. Ton livre est formidable! Aucune plainte, aucune lamentation une merveilleuse leçon d'amour et de courage, une éthique de la vie que peu d'entre nous, hélas! savent apprécier.

Gisèle BELLHASSEN


Merci pour Je ne t'oublie pas Dominique. Dominique y est plus présente que dans son journal, vous l'avez cherchée telle qu'elle était avec les autres, les pensées ou confidences qu'elle vous scellait.. vous avez réussi, elle y est vivante. J'ai beaucoup aimé Dominique, vous le savez, je n'oublie pas, moi non plus.

Annie VIGUIER PARIS


 Nous sommes émus par tant d'intelligence, de courage face à cette fin injuste et inéluctable. Dominique n'est pas morte, grâce à votre livre elle s'est réveillée des rêves de la nuit. Nous ne l'oublierons jamais.

M. et Mme André MARIE PARIS


C'est tout simple, nos pas nous ont dirigé vers le cimetière Montparnasse et tout à coup, je me suis trouvée devant la tombe de votre Dominique. Vous décrire mes sentiments à ce moment-là est difficile: émotion bien entendu, mais aussi la sensation de me trouver devant une amie. Monique ORJOL SAINT QUENTIN


J'ai passé une semaine à lire et à relire Dominique Cacoub. Cela m'a fasciné. Sa sensibilité, sa chaleur humaine, ce regard neuf qu'elle portait sur les choses qu'elle venait de découvrir; la musique, le théâtre. Claudette CELMA FONTENAY-TRESIGNY


 J'ai 15 ans. L'amour entre vous et Dominique est touchant. Dominique a été plus que formidable, accepter cette maladie pratiquement sans révolte c'est magnifique. Toutes ces souffrances, ses hospitalisations témoignent de son courage inépuisable. Dieu vous récompensera. André BORGEAT OLLON-CHERMIGNON SUISSE


 Ce livre a dû être parfois dur à écrire mais il a dû vous aider aussi à vivre et maintenant l'association que vous avez créée continue cette chaîne de courage à l'origine de laquelle se trouve votre Dominique si énergique. Brigitte RICHE PARIS


 J'ai lu d'une traite sans pouvoir le lâcher ce livre beau et courageux. J'ai souffert des années après, avec vous deux. Sarah LEBOVICI Dominique est devenue mon amie, mon alliée dans mon coeur, elle est toujours vivante, gaie, jolie et gentille. Elle hante mon esprit par son indéfinissable courage et sa joie de vivre. Valérie CHAMBORD LACROIX SAINT OUEN


Je suis une jeune fille de 19 ans qui a compris que le vie est précieuse pour chacun même pour Dominique qui n'a pas eu le temps d'avoir mon âge. Dominique est pour moi une amie inoubliable. Llena TEROROTUA VOUTEZAC


 J'ai lu, relu dix fois votre journal. Vive la Vie et vive Dominique Cacoub, elle n'est pas de ma famille, je ne la connais pas mais je la sens près à me fouetter le visage lorsqu'une bêtise de la vie m'enlève le sourire. Si vous allez dire bonjour à Dominique, dites-lui que je pense souvent à elle et que je n'oublierai jamais de sourire à la vie comme elle l'a toujours fait. Sophie GAZO BRUXELLES


 Il y a très longtemps que j'ai lu votre livre Je ne t'oublie pas, Dominique. Je l'ai lu bien une centaine de fois, toujours avec émotion et larmes et je pense au courage qu'ont pu avoir les parents et Alain, son frère mais Madame Cacoub a été formidable. Que d'amour a-t-elle donné à sa fille! J'aime beaucoup ce roman car cette histoire est réelle et c'est un peu comme si je vous connaissais tous.

Jacqueline GAUTIER. BOULBON