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Le site de Dominique Cacoub

  

  

Extraits de presse




Elle a succombé à 17 ans à la leucémie. Sa mère a lutté avec elle pour faire durer la vie malgré tout. Leur témoignage entrecroisés et douloureux forment une leçon de vie, de courage et de joie.

Claudine JARDIN. Le FIGARO


 On va sûrement beaucoup parler de ce journal. On va aussi évoquer Anne Frank. Comme Anne Frank, Dominique Cacoub est juive et c'est bien là leur seule ressemblance. C'est à Marie BASHKIRTSEFF que Dominique Cacoub fait penser: même appétit de vivre, même goût de la beauté, même besoin de "retenir la vie" en devenant vite célèbre. Comme si la célébrité pouvait vaincre la mort. On aura compris qu'il n'est pas question de porter sur ce journal un jugement littéraire. C'est un document exemplaire qui suffira à arracher de l'oubli Dominique Cacoub.

Jean CHALON. LE FIGARO LITTERAIRE


C'est formidable, bouleversant parce que c'est le journal d'une petite fille qui ne va pas mourir alors qu'on sait que c'est le journal d'une petite fille qui est morte.

Pierre DUMAYET


Ce témoignage si déchirant m'a profondément ému.

Max-Pol FOUCHET


 "Je ne veux pas qu'on m'oublie " n'est pas un livre sur la mort, mais sur la vie. Entre la grandeur de son drame personnel et ses petites joies enfantines, Dominique a instinctivement choisi de conter les secondes, trouvant parfois des accents presque proustiens grâce à une minutie dans le compte rendu qui en fait un révélateur d'âme.

Richard LISCIA. COMBAT


 Ce journal plein de vitalité, d'espièglerie, d'innocente coquetterie et de vrai courage. On sourit souvent, on rit quelquefois . Un livre qu'on n'oublie plus quand on l'a une fois ouvert.

Josane DURANTEAU. LE MONDE


 Dominique avait trouvé un moyen de conjurer la solitude en tenant quotidiennement son journal. C 'est disait-elle " une manière comme une autre de retenir la vie'". Confident de ses enthousiasmes et de ses souffrances, il a la qualité et la sensibilité de celui d'une autre adolescence de son âge, Anne Frank.

Marie-Thérèse GUICHARD. LE POINT


 Deux journaux entremêlés, à travers lesquels s'élabore une sorte de dialogue posthume et s'opère comme un approfondissement des liens qui se sont noués, jusqu'à la disparition de l'une d'elles, entre la mère et la fille.

TRIBUNE DE GENEVE


 Aucune tristesse, aucune amertume, mais au contraire un immense cri vers la vie.

ELLE


Bouleversant journal d'une adolescente morte de leucémie.

TEMOIGNAGE CHRETIEN


C'est un document bouleversant.

Thérèse HAMEL. MARIE FRANCE


 Ce document exceptionnel permet à une jeune morte de nous donner " une leçon de vie". Vous serez confident de ses pensées et de ses émotions, de son éveil à l'amour. Et vous ne pourrez vous empêcher de vous attacher à cette enfant pleine de promesses qui ne seront, hélas! jamais tenues.

Camille OLIVIER BONNE SOIREE


 Cette soif de vivre, cette joie de vivre, de tout découvrir; de tout apprendre et vite.

Françoise FAVIER. FRANCE CULTURE


 " Quand je serai morte, je voudrais qu'ion parle de moi et rester toujours vivante". C'est la terrible confession d'une jeune leucémique de 17 ans, Dominique Cacoub, qui durant trois ans " retiendra sa vie " en tenant un minutieux journal intime.

LA DEPECHE DU MIDI


L'intense besoin d'exprimer son amour filial et d'être entourée par sa famille montrent que la jeune fille n'était pas inconsciente de l'épreuve et de son issue fatale. Aussi ne peut-on lire sans émotion ce cri confiant et désespéré à la fois: " Je ne veux pas qu'on m'oublie".

Claude FLEURY. LE REPUBLICAIN LORRAIN


 Elle nous offre un cheminement d'une franchise bouleversante vers la maturité et vers la mort, avec tout ce que les derniers jours comportent de souffrance et d'acceptation. Pourtant, jamais elle ne se laisse aller aux plaintes et à la tristesse.

Jacqueline SARDE. FEMMES D'AUHOURD'HUI


Dominique par son courage lucide, mérite qu'on ne l'oublie pas. Voici qu'elle brûle comme la frêle lumière de notre petite soeur, l'espérance. A nous de la faire connaître à ceux qui sont dans la nuit, la peur, la solitude, le désespoir.

J.F. CHAUDET. OUEST FRANCE


 C'est un témoignage poignant puisqu'aux petits événements de la vie quotidienne, aux inquiétudes, aux émois s'ajoute la lutte de tous les instants contre cette maladie qui allait devenir la plus forte.

PRESSE OCEAN


 Même au moment où elle souffrait le plus, par pudeur ou par discrétion, Dominique parle très peu de sa maladie. Ce livre, qui n'est jamais morbide, est le plus beau, le plus émouvant chant d'amour qu'une jeune fille ait dédié à la vie.

Monique PANTEL. FRANCE SOIR


 Une belle histoire. Une histoire grave, une histoire qui méritait d'être racontée. Dominique a chanté sa mort qui est également un hymne à la vie.

Jacques CHANCEL.


 Terrible. Merveilleux et terrible. Ce n'est pas un roman. Mais le récit, sensible, bouleversant, d'une mère qui raconte ses derniers instants d'amour avec sa fille, Dominique, morte à 17 ans d'une leucémie. Mais y-a-t-il jamais de dernier instant d'amour? Mireille BOCCARA CACOUB en fait la promesse et la tient, en disant: Je ne t'oublie pas, Dominique. Il faut préciser, croyons-nous, que cette mère ne tire pas profit de sa douleur en faisant oeuvre littéraire: les droits d'auteur sont versés à l'Association Dominique Cacoub qui apportera réconfort moral et aides matérielles aux malades atteints de leucémie.

France NESPO F. MAGAZINE


 Témoignage poignant, bouleversant de pudeur, sur la personnalité de Dominique à qui la maladie donne une espèce de hâte, l'envie de tout comprendre, de tout connaître. Je ne t'oublie pas, Dominique est comme une fleur que l'on jette et que le courant entraîne, pensée mélancolique d'une mère qui a décidé de réapprendre à sourire et surtout, d'apporter toute son aide à ceux que la maladie atteint.

Simone AROUS. LE MAGAZINE LITTERAIRE


Je ne t'oublie pas, Dominique est à la fois un livre déchirant, insoutenable, et ( il n'y a pas contradiction) un livre admirablement écrit: d'une sobriété, d'une retenue de style, bref, d'une pudeur sans défaillance.

Jean-Paul LACROIX


 C'est bien d'amour entre une mère et sa fille, de vie, de mort et de survie qu'il s'agit ici. Une survie issue de la vie même de Dominique notée régulièrement à l'insu de tous, greffée sur sa joie, sur son appétit à vivre, sur sa volonté de découvrir vite la vie, son besoin d'éprouver dans toutes ses manifestions, son désir avoué d'en connaître tous les âges. La découverte du journal de Dominique fait renaître en sa mère la force. Force et même joie. Le livre de Mireille BOCCARA CACOUB vient éclairer, combler tout ce que Dominique avait laissé en pointillé ou qu'elle avait tu ou qu'elle ignorait.

François FAVIER. FRANCE CULTURE


 Je ne t'oublie pas, Dominique est la réponse de la mère à l'enfant. Il fallait raconter cette enfant, ce dialogue de la mère et de la fille auquel la maladie confère cette exceptionnelle intensité; Dominique avait soif de vivre et de vivre vite. Mireille savait que tout pouvait s'arrêter, d'un jour à l'autre. Ses plus belles pages sont celles qui racontent cette grande histoire d'amour.

Monique HECKER. LE REPUBLICAIN LORRAIN


C'est la reprise d'un dialogue d'amour qui se poursuit maintenant pour l'action envers d'autres.

Eric EDELMANN. FAMILLE CHRETIENNE


 Dominique était condamnée... à l'âge des boums et des flirts. Et chacun pendant trois ans a fait comme si... comme si Dominique avait la vie devant soi. Et fait en sorte que cette vie rétrécie soit aussi accomplie et achevée que possible. Dominique avait entrevu l'atroce vérité et crié : Je ne veux pas qu'on m'oublie. A ce journal répond aujourd'hui; une petite voix tendre, forte, brisée, tonique, amère, révoltée. Je ne t'oublie pas, Dominique. C'est le récit par la mère de ce combat livré et perdu contre la mort.

Annie CROUZET. LE PROGRES


Il y a dix ans, Dominique Cacoub mourrait de leucémie, à l'âge de 17 ans. Elle laissait un journal qui était publié sous le titre: Je ne veux pas qu'on m'oublie. Aujourd'hui, par delà la mort, sa mère lui répond, lui dit comment elle a vécu sa maladie, raconte sa révolte et sa longue remontée à la vie.

LE QUOTIDIEN DU MEDECIN


C'est l'histoire d'une jeune fille, Dominique, qui a vécu une adolescence presque comme les autres, à la seule différence quelle était leucémique et qu'elle est morte.

Agnès GRIBE. L'OREILLE EN COIN


On se souvient du livre paru chez le même éditeur, journal d'une jeune fille morte de leucémie. Ici sa mère poursuit le débat avec beaucoup d' émotion.

Marie-Louise COUDERT. L'HUMANITE-DIMANCHE


 Etrange dialogue entre une mère et sa fille. Quand Dominique succombe la mère demande: Contre qui se révolter? A qui réclamer justice? Et son cri trouve un écho en chacun de nous.

Henri BULAWKO. INFORMATION JUIVE


Nous sommes des centaines de milliers qu'avait bouleversés Je ne veux pas qu'on m'oublie, le journal d'une adolescente paru en 77. Nous serons au moins autant à lire, éblouis, les pages-dialogues qui culbutent les contingences du temps, repoussent les limites de la vie. Mireille BOCCARA CACOUB est écrivain; à la sincérité qui nous attache à son journal on doit ajouter, incontestablement, l'attrait du talent de son écriture.

Annie SIDIER. LYON POCHE


Terrible et merveilleux dialogue entre ces deux êtres si proches l'un de l'autre malgré la mort de l'enfant. Un soir de novembre, Dominique a écrit: Quand je serai morte, je voudrais qu'on parle de moi et rester toujours vivante. Son voeu est exaucé. Elle reste vivante et agissante.

Michèle SCIALOM. LA TERRE RETROUVEE


 Un témoignage bouleversant. Déchirante histoire mais qui, malgré tout, s'ouvre sur un accent réconfortant: la mort de Dominique, écrit Mireille, et ma survie sont utiles aux autres. C'est notre victoire sur la mort. C'est ainsi que se continue notre amour.

ESPOIR SAINT ETIENNE


 Un amour qui n'en finit pas. De l'un à l'autre livre nulle répétition, mais une lumineuse complémentarité et la même qualité de jeunesse. Dominique voulait tout connaître, se sentant par avance à la hauteur, sûre de sa propre force, de son appétit et de son talent à vivre. Ce qu'elle ignorait, c'est à quel point cette richesse qui l'habitait aiderait, un jour, les autres à vivre.

Catherine MUSARD. LE DROIT DE VIVRE